Mauvais chiffres du chômage en avril : comment faire ?

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 Stéphane : Tout simplifier

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 Alfred : Pierre Larrouturou à l’instant : “les chiffres ne sont pas mauvais, ils sont catastrophiques” ensuite, il explique la réaction de pays comme le Canada et l’Allemagne qui ont pris des décisions courageuses, le truc qui nous manque dramatiquement, le courage.

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 Stéphane : Oui… courage aussi !

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 Stéphane : C’est un échec général et absolu de la classe politique française : de la droite démocratique comme de la gauche démocratique. Elle ont été incapable depuis trente ans de réformer le pays, elles en payent le prix.

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 Pascal : Atténuer la norme RT2012 dans le bâtiment pour diminuer le coût : quand le bâtiment va, tout va !

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 Jean-Christophe : Mouais.

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 Pascal : On assiste à un effondrement de la construction de maison individuelle par les primo accédants.

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 Laurent : Il conviendrait de:

  • reformer le code du travail en profondeur pour faciliter massivement l’embauche et le licenciement
  • diminuer fortement les montants de prestations sociales, ce qui permettrait de diminuer les charges patronales et salariales
  • simplifier dramatiquement la fiscalité des personnes et des entreprises
  • simplifier tout autant les procédures administratives dans tous les domaines

Ces initiatives seront a même de causer encore plus de désarroi parmi les classes les plus fragiles. Néanmoins a défaut de procéder à ces choix nous continuerons de mourir à petit feu, et ces mêmes classes fragiles souffriront d’autant plus.

Pour contrebalancer ces mesures perçues comme une porte ouverte aux intérêts de grand capital, il faut les accompagner de dispositifs pour réduire massivement les écarts de salaire entre premier et dernier décile au sein d’une même entreprise, fiscaliser les revenus du capital bien plus sévèrement que les revenus du travail, et déployer des politiques fortes d’aides aux moins fortunes (personnes âgées, handicapées, mères de famille célibataires, etc) en réallouant les sommes englouties par le fonctionnement de l’hydre étatique au moyen d’une diminution massive du nombre de fonctionnaires et des dépenses de fonctionnement (et parfois d’investissement, qui a besoin d’un nouveau stade de foot a Bordeaux ou d’un aéroport a Nantes) de l’État et des collectivités territoriales.

Il faut libérer les énergies créatives a tous les niveaux en France, et tout mettre en oeuvre pour qu’en définitive a la question “que voulez-vous faire plus tard”, les 70% de jeunes qui indiquent aujourd’hui vouloir devenir fonctionnaires disent demain vouloir entreprendre, en d’autres termes contribuer a changer le monde. Leur monde. Notre monde.

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 François-Xavier : Cela se saurait si le dernier décile, comme tu dis, voulait réduire l’ écart entre lui et le premier décile. Au vu des dernières augmentations que ces derniers déciles se sont accordés et sans tenir compte de la crise, il ne faut pas rêver (cf: Tavares chez Peugeot, salaire annuel revenu au niveau de celui de Varin avant la crise et ce, dans une entreprise en difficultés financières qui va devoir faire d’ ici peu une place de plus en plus importante aux investisseurs chinois).

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 Nicolas : Comme dirait Ploum, le monde change “L’aliénation du plein emploi” http://ploum.net/lalienation-du-plein-emploi/

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 Arthur : Laurent Président !

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 Pascal : Plus de moyens à Pôle Emploi.

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  Laurent : Il appartient au corps social de pouvoir légiférer sur les écarts de salaire. Je suis convaincu que nous vivrions dans une société beaucoup plus harmonieuse si au sein d’une société les écarts de salaires n’étaient pas supérieurs a un coefficient de 5, comme aux origines du capitalisme rhénan.
En revanche, il est juste que les risques pris en capital soient rémunérés. Sinon pas de prise de risque. Pas d’Apple, de Google, de Free, etc. Néanmoins les revenus du capital doivent être plus taxés que les revenus du travail, il en va la d’un principe éthique qui ne devrait pas souffrir de contestation.
Je suis convaincu qu’il y a moyen de concilier une logique libérale fondée sur la liberté individuelle avec un profond souci d’équité et de soutien aux plus faibles. Les recettes rances et les magouilles inacceptables du PS et de l’UMP ne proposent aucune solution à cet égard ; ces deux partis proposent une vision en mode lutte des classes et préservation des intérêts catégoriels qui non seulement ne fait pas avancer le schmilblick, mais creuse chaque jour un peu plus le puits où s’écoulent les larmes de la société française.

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 Laurent : Pole emploi n’est qu’un centre de tri et d’orientation du point de vue de la recherche d’emploi. Il ne crée pas d’emploi en soi. Il est perçu comme inefficace par un grand nombre de ceux qui ont du subir ses se®vices.
Il est a ce titre édifiant de lire les dernières études publiées a propos de la recherche d’emploi en France. Plus de candidats trouvent désormais un job grâce a Monster etc que via Pole Emploi. Quel coût pour cet autre monstre étatique, pour quel résultat ?
Le rôle de l’Etat n’est pas d’assister les individus à trouver un emploi à mon sens. Il est a mettre en oeuvre les conditions d’un marche de l’emploi efficace et fluide d’une part, et a soutenir financièrement les plus démunis au nom de la solidarité nationale d’autre part.
La confusion des genres (organisme de redistribution et centre d’orientation) au sein de Pole Emploi est une très grave erreur à mon sens. Elle induit une grande souffrance chez ceux qui sont réduits à des marchandages et des avilissements abominables pour continuer a exister socialement. Orwell lui-même n’aurait pas pu imaginer pareille monstruosité.

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 Peter : Comme les Suisses ; formation en alternance et priorité au nationaux dans les marchés publics des collectivités ou respect des règles salariales françaises.

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 Arthur : Pole emploi, RSI… et j’en passe et des meilleures. Payés à pas faire grand chose. Cout de fonctionnement exorbitant. Nos politiques sont déconnectés, sûrement très compétents à l’ENA ou Science po mais ça s’arrête là. Il n’y a que le peuple pour retourner la situation (Cf ecotaxe)

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 Arthur : Peter, je ne vois pas ce que les Suisses viennent faire dans cette discussion. C’est un tout petit pays, refermé sur lui même, raciste, paradis des financiers bref…

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 François-Xavier : Les risques pris en capital. Mais depuis quand les grosses entreprises prennent des risques !!! Regarde l’automobile, ils sont incapables de mettre en oeuvre une chaîne de montage de véhicules électriques ou hybrides. On privilégie encore et toujours le Diesel ou l’ essence alors que les marques allemandes, italiennes, japonaises et autres ont déjà pris ce virage. Alors, rémunérer le risque, pas d’ accord. Il n’y a aucune prise de risques de la part de ces marques françaises. Ce secteur n’ est pas le seul malheureusement. Et la proposition de limiter l’ écart à 5 ne serait en aucun cas acceptée par les élus et les Patrons. Utopique cette proposition. Le capitalisme rhénan n’ est pas applicable en France. Notre culture latine ne l’acceptera jamais et cela arrange tout le monde sauf nous, la France d’en bas comme a déclaré cet excellent premier ministre qu’ était Mr Raffarin (ah ah)

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 Peter : Pas si raciste que la France, j’y ai travaillé ; mais si tu veux deux autres exemples prends l’Angleterre ou le Danemark où les prolos en on marre de se faire tirer les commandes de boulot par les entreprises de l’Est avec des salaires à 400 € (sans exclure, il faut réglementer) ; mais les libéraux veulent t-ils faire le lit des fachos en opérant une concurrence acharnée sur les prix (la soi-disant compétitivité) !

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 Peter : Quant au meilleur premier Ministre ce n’est pas Raffarin qui a dû s’exclure du gouvernement tellement il était déconsidéré mais Rocard !

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 Arthur : Peter, donc en exemple tu ne donnes que des pays qui ne sont pas dans l’union européenne… Anglais pas dans l’union et les Danois sont dans l’union mais n’ont pas la monnaie (ils sont dans l’union pour bénéficier de la PAC mais absolument pas intéressés par le sujet ; ils sont royalistes et conservateurs. => j’y ai fait un petit tour étant étudiant).

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 Peter : les Anglais sont dans l’Union mon jeune ami. Ce sont aussi les financiers de l’Union. C’est d’ailleurs toute la polémique. Mais trêve de balivernes, un médecin ne critique pas la maladie il cherche à soigner le malade. On ne va pas enterrer l’Europe sous prétexte qu’elle est malade !

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 Peter : si tu fait un plus grand tour en GB écoute et regarde leur Démocratie, il y a des leçons à prendre !

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 Arthur : Peter, je me suis mal exprimé sur l’Angleterre. Dsl. J’en dis des conneries, un peu comme tous ici d’ailleurs. L’idée c’est d’échanger.

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 Peter : Pas grave Artur, l’idée c’est pas de déconner; mais de chercher le médicament et de bastonner les connards de faschos, qu’ils soient FN, autrichiens ou Nazis !

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 Peter : nous ne sommes plus vraiment gouvernés alors faisons par nous même !

HelloOo

Je suis Jean-Christophe Gilbert. Je suis né et j’habite à Niort. J’ai 58 ans, je suis marié et j’ai deux enfants. Je me suis installé à mon compte en 2004 comme artisan internet et je gagne ma vie avec le numérique depuis 1997. Je suis dans la communication depuis…. depuis toujours en fait 

😛

Je suis co-fondateur du service Internet chez Marcireau (en compagnie de Dominique, Yves, Jean-Christophe sous la présidence de Marie-Renée + un peu plus tard le talent de Caroline et beaucoup d’autres).

Après deux années “fastes”, j’ai travaillé dans le monde merveilleux de l’industrie automobile à Niort avec Jean Aubineau, François Logeais, Henri Moreau, Fred Billat, Pascal Texier, Jean-François Cadu et beaucoup d’autres..

Depuis 2010, nous avons fondé avec quelques amis (Robert , Olivier  et Arthur) une sarl au capital de 50 000 € qui s’appelle Weeeb. Elle a plus de 10 ans aujourd’hui, des clients et des fournisseurs fidèles et réguliers.

Je me suis beaucoup investi – bénévolement – dans de merveilleux projets associatifs pour contribuer à construire une vraie filière numérique écoresponsable sur notre territoire. J’ai échoué.


Je sors de deux années de mandat de co-président du Réseau SPN. (en compagnie de Sébastien) + quelques mois de présidence tout seul.

J’ai beaucoup travaillé sur les valeurs de notre asso ainsi que sur la sobriété numérique à l’échelle de la Région Nouvelle-Aquitaine. Nous avons co-construits toute une série de premiers dispositifs concrets pour encourager l’éco-responsabilité.

J’ai été nommé administrateur de l’Ecole Européenne de l’Image et du son (Angoulême et Poitiers) par Grand Poitiers. Heureux titulaire d’un bac-1, j’en suis très fier.

J’ai été élu vice -président du Conseil de Développement de l’Agglo et administrateur du Club des Entrepreneurs du Niortais.

Je suis co-fondateur de Niort Numéric qui a fêté sa 7e édition cette année avec brio.

Je me suis enfin beaucoup investi et depuis des années dans le projet de La Fabrique du numérique. Formidable dispositif présidé par Edith Cresson sous le dynamisme créatif d’Eric Meunier, mon copain, parti trop vite dès le début du confinement et à qui je pense très souvent.

Pour moi, le numérique est une aventure avant tout humaine.


J’ouvre ici une petite parenthèse pour remercier très chaleureusement Isa et Robert, Sylvie et Olivier, Arthur, Nico, Laura, Mathieu, Alexis, Will, François Ory, Eric Matifas, Laurent Buffolo, Lisa, Joe, Pat Joub, Arnaud, Sylvie,  Bernadette, Olivier, Pascal, Jacques Billy, Raphaël, Bertrand, Stéphane Richard, Chauvin, Traumat, Graciet, Aubert, Gilbert et tant d’autres encore que je vais m’arrêter là – en n’oubliant pas, bien entendu, Jules et mon épouse – sans qui rien de tout ceci n’aurait été possible.

Voilààà.

Ce blog est en ligne depuis 2012.

Il fait suite à un tout premier blog que j’ai

inauguré en 2005

. Tout ça pour dire que j’attaque donc ma quinzième année de blog. A défaut d’être très suivi ou de faire une quelconque autorité, cette longévité atteste d’une certaine suite dans les idées.

Le Facedoxe Parabook

Se créer une page sur Facebook est rapide et simple. La transformer en un véritable média communautaire demande une somme d’efforts absolument incroyable.

Je sais pas si tu te rends bien compte de l’énergie, du temps, de la veille, quotidienne et quasi permanente que cela exige. Incroyable. 

Customer are an investment. Show your customers some looove !

Notre ami Fred Cavazza assiste à la dixième édition de la conférence Marketing 2.0. Comme son nom l’indique, cette conférence est centrée sur les métiers du marketing et leur évolution. Passionnant, comme d’habitude !

Les organisateurs ont insisté sur l’importance d’un point si souvent rappelé ici : mettre les clients au centre des préoccupations. Une bonne chose en cette période où il n’est question que de fans, d’applications mobiles et de données. Le mantra de la journée est : “Show me the money !“. Tout un programme…

Voici un premier résumé des réflexions intéressantes abordées au cours de cette première journée :

  • Old world, new channels. 95% de ce que nous faisons ou consommons provient du monde analogique. Internet est omniprésent dans notre quotidien, l’important n’est donc pas de numériser son offre ou sa proposition de valeur, mais de le faire en apportant de la valeur ajoutée (Ex. Uber ou Simple Bank).
  • Digital is redfining the experience. Nous sommes dans un monde où tout quasiment peut être automatisé et exécuté par des machines ou robots, les marques doivent faire un travail d’introspection pour savoir quelle est leur réelle proposition de valeur, où se situe réellement la valeur ajoutée dans leur offre (“Building new connected value proposition“, ex : Phillips Hue).
  • It’s not about you. Nous sommes entrés dans une ère conversationnelle, la posture autoritaire est de moins en moins acceptée, surtout pour les marques non aspirationnelles (“Don’t be the expert“). Les internautes veulent qu’on leur parle d’eux et de leur quotidien (ce qu’ils partagent sur Facebook ou les plateformes sociales). La difficulté vient du fait que toutes les marques ne peuvent parler à tous les clients en même temps, l’important est de trouver un sujet sur lequel la marque est pertinente et légitime.
  • Recommendations drive revenue. Nous sommes dans une économie de la recommandation où les clients satisfaits sont les meilleurs ambassadeurs de votre marque. La difficulté est de les inciter à verbaliser leur satisfaction et d’orchestrer des conversations entre les ambassadeurs et les sceptiques (cf. ZMOT).
  • Think like a brand, act like a conglomerate. Les médias sociaux donnent aux petites marques et commerçants la possibilité de s’exprimer avec les mêmes outils que les grandes marques internationales. Les utilisateurs de plateformes sociales ne se soucient que de la pertinence du contenu, chacun a sa chance, il est donc essentiel de ne pas se limiter dans sa prise de parole et d’avoir de grandes ambitions éditoriales, aussi bien dans les articles que vous pouvez publier sur LinkedIn ou les photos que vous pouvez partager sur Pinterest. Du moment que vos contenus sont pertinents et inspirationnels, ne vous limitez pas dans l’audience que vous visez, tout le monde a sa chance (“Think big, say it loud“).
  • Enhance your cross-posting strategy. Les systèmes de publication multiple commencent à montrer leur limite (ex : les vidéos Youtube republiées sur Facebook sont souvent ignorées). La bonne approche est d’investir 10 minutes de plus pour publier le même contenu mais selon les particularités : le titre d’un article sur Twitter, l’intro sur Facebook, une citation sur Google+, une illustration sur Pinterest et une autre sur Instagram…
  • Customers expect each interaction to be relevant. Les clients se moquent de votre organisation ou des limitations de votre système d’informations, ils veulent accéder aux mêmes contenus et bénéficier des mêmes services, quel que soit le canal. Ne faites  surtout pas l’erreur de penser qu’il y a des clients mobiles ou des clients “sociaux”, ce sont les mêmes clients, mais dans différents contextes et à différents moments de la journée (“The digital customer determine the channel“).
  • Engagment is not everything. Dans la mesure où 90% des utilisateurs n’interagissent pas sur les médias sociaux, le taux d’engagement ne concerne que 10% de l’audience. On ne peut donc pas en déduire un ROI fiable.
  • Care more about customers than your competitors do. Le niveau de réactivité des marques ayant fortement augmenté ces dernières années, les marques doivent démontrer un réel intérêt dans la satisfaction de leurs clients, elles doivent leur apporter de réelles preuves, pas les envoyer sur un formulaire d’évaluation (“Customer are an investment. Show your customers some love“).
  • Difficult is Good. Si c’est difficile pour vous, ça le sera aussi pour vos concurrents. Les changements et opérations que vous avez du mal à mettre en oeuvre sont autant de barrières à l’entrée pour vos concurrents (“You have to work hard to grab their attention, take risks!“).

– See more at : http://www.fredcavazza.net/2014/05/12/compte-rendu-conference-marketing-20-jour-1

Immersion dans l’univers du Web 2.0

Immersion dans l’univers du Web 2.0

Avancées et réflexions sur le contenu numérique « nouvelle génération »

C’est passionnant, le numérique, des fois. Inventer de nouveaux modèles. Important, vital (pour survivre). On assiste ces derniers temps à l’émergence de contenus numériques “nouvelle génération”. Ces nouveaux contenus proposent tous un nouveau cadre de couverture d’un sujet, un nouveau modèle pour informer sans chercher à être exhaustif ou omniscient, sans viser nécessairement le scoop, sans publier de manière très régulière. C’est une vraie évolution, ce truc.

Souvent sur des niches, les nouveaux contenus cherchent surtout à découper, creuser, approfondir, décortiquer, voire anticiper un sujet en utilisant toute la panoplie des nouveaux outils numériques : textes, photos, vidéos, tweets, visualisation de données, graphiques animés, statistiques, algorithmes, … C’est en tous cas une narration, dotée d’un design soigné, qui dépasse le texte écrit.

C’est aussi un contenu de forte valeur ajoutée avec peu de staff, mais qui ne peut se passer du travail de terrain réalisé par d’autres. Avec leurs encadrés permanents réactualisés.

Le travail va au delà de celui du rubricard classique, mais s’arrête avant celui du journaliste de données.

Où se former à ce nouveau journalisme ? 

 « Sûrement pas dans les écoles de journalisme qui sont une absolue perte de temps ! », assure un ancien de Reuters.  « On apprend en le faisant ! L’école c’est la blogosphère. Créez votre blog plutôt que d’écouter des types de 55 ans vous expliquer ce qui se passait en 1974 ! ».

Plusieurs sites :

  • Politifact, un des premiers sites de fact-checking, récompensé par un Pulitzer.
  • Quartz, le site assez élitiste pour mobiles de The Atlantic, qui est un peu le père de tous ces sites depuis plus de 18 mois.
  • Connected China, qui propose, pour Reuters, une démarche itérative pour réactualiser les liens au sein des cercles de pouvoirs en Chine. Reuters a même un blog sur le journalisme structuré.
  • Atlantic Cities sur les grandes villes de la côte est des Etats-Unis.
  • Knowmore du Washington Post
  • Rookie, qui couvre l’actu sportive uniquement par des citations de sportifs et de belles photos. 

La source de cette info (comme de plein d’autres dans mon blog) et que je remercie encore est Michelle Blanc

Proverbe chinois

Gauche, droite, formats caduques, discours usés, les bons les mauvais, les cowboys et les indiens, on en crève de ces querelles stériles. Qui à droite veut que les moins fortunés galèrent ? Qui à gauche ne vise la réussite du pays ? Cette façon de vouloir de manière perpétuelle mettre en exergue ce qui nous sépare plus que ce qui nous unit est toxique. 

Mes – petits mais néanmoins fâcheux – déboires avec Canal+

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Bon, déjà, le premier truc c’est que je suis pas du genre gueulard (comme tu peux le constater dans la foultitude de mes différents billets). Mais là, Canal, ils exagèrent, merde. Je suis abonné depuis pfouuu, allez, 25 ans minimum. Jamais un incident de paiement, toujours fidèle (fidèle, je suis resté fidèèèle).

Il y a de cela quelques temps, une ravissante jeune femme à la voix d’ange m’a téléphoné pour me proposer un cadeau absolument fabuleux : un abonnement ultra privilège à CanalSAT, tout gratuit, tout compris, un privilège rare pour un homme aussi remarquable et intelligent (d’après elle, je veux dire).

A l’usage, bon, je m’en tape de CanalSAT, ça me coûte une blinde (36,90 € /mois) et je souhaite donc me désabonner.

Je vais sur le site, me connecte et souhaite – donc – me désabonner.

C’est impossible en ligne.

Il n’y a aucun conseiller disponible en chat.

Il faut que je leur re-téléphone dans deux heures, ‘sont débordés.

Pfouuuu.