Algorithme et intelligence artificielle : quelle différence ?

C’est clair, l’intelligence artificielle s’invite de plus en plus dans les discussions. Mais sait-on réellement de quoi il s’agit ? Si les applications alimentées par l’IA sont désormais très nombreuses, il existe encore une confusion entre l’intelligence artificielle et les algorithmes. Pour cette raison, je vous propose de vous aider à y voir plus clair. Avant de nous pencher sur l’intelligence artificielle, essayons de préciser ce qu’est un algorithme.

Algorithme : de quoi s’agit-il ?
Un algorithme est un ensemble de règles qui doivent être suivies afin d’accomplir une tâche ou de résoudre un problème. Contrairement aux apparences, les humains se servaient des algorithmes bien avant l’émergence de l’outil informatique. En effet, les recettes de cuisine et les opérations mathématiques sont des algorithmes, car elles suivent un processus par étapes pour aboutir à un résultat. Un métier à tisser est également un algorithme.

En informatique, les algorithmes sont considérés comme des instructions qui aident l’ordinateur à accomplir des tâches bien spécifiques. Ils jouent également un rôle majeur dans le fonctionnement des réseaux sociaux. C’est grâce à eux que s’affichent l’actualité ou les publicités qui vous sont proposées. Les algorithmes sont aussi essentiels pour les moteurs de recherche. En effet, ils permettent d’optimiser la recherche, mais aussi de prédire ce que l’internaute va taper.

La pensée algorithmique est utile dans de nombreux domaines. À l’heure de la Data Science, de l’intelligence artificielle et du Machine Learning, les algorithmes représentent ainsi un élément clé dans la nouvelle révolution industrielle qui a lieu.

Les algorithmes utilisés dans l’intelligence artificielle sont des algorithmes spécifiques dont les modèles produits évoluent en fonction des données qui leurs sont fournies et dont ils se « nourrissent ».

Intelligence artificielle : définition

Différente de l’intelligence humaine, l’intelligence artificielle (IA) aide à concevoir des dispositifs et des systèmes capables de résoudre des problèmes comme le ferait un humain. Par conséquent, l’intelligence artificielle revient à demander à une machine d’imiter le raisonnement humain.

Machine Learning : de quoi s’agit-il ?

Le Machine Learning ou – je préfère – apprentissage automatique est un sous-ensemble de l’IA. Cette technologie permet aux machines de reconnaître les données et de les mettre à la disposition d’applications qui utilisent l’IA.

L’idée qui se cache derrière l’apprentissage automatique est d’introduire un grand nombre de données dans des algorithmes (ou modèles) et de laisser les choses se faire. Le Machine Learning est à l’origine du développement d’un grand nombre de services comme le système de recommandation de Netflix, de YouTube ou de Spotify.

Deep Learning : c’est quoi ?

Sous-domaine du Machine Learning, le Deep Learning ou apprentissage en profondeur offre la possibilité de créer des systèmes capables d’apprendre, de prévoir et de décider en parfaite autonomie. Cette forme d’intelligence artificielle fonctionne grâce à des algorithmes qui imitent le cerveau humain. Pour y arriver, ils utilisent un large réseau de neurones artificiels.

Ce réseau est composé de plusieurs couches qui sont interconnectées. La première correspond aux neurones d’entrée tandis que la dernière aide à transmettre le résultat final. Entre ces deux couches se trouvent plusieurs autres qui permettent de traiter l’information. Une telle architecture est propre au Deep Learning et contribue à une analyse plus précise des données d’entrée.

Plus le réseau de neurones est profond, plus le système est en mesure d’effectuer des tâches complexes. Lorsqu’une information est traitée, les connexions entre les neurones s’étendent, ce qui offre la possibilité d’améliorer les décisions. Aujourd’hui, cette technique est utilisée pour analyser des images, créer du contenu textuel ou améliorer la cybersécurité de vos clients si vous évoluez dans ce domaine. C’est grâce au Deep Learning que ChatGPT s’est développé il y a quelques années pour devenir une référence IA de nos jours.

En résumé
L’algorithmique sous-tend l’intelligence artificielle, le Machine Learning et le Deep Learning qui sont étroitement liés. Chacun possède toutefois des caractéristiques bien distinctes. L’IA permet aux ordinateurs, aux machines et aux robots d’imiter l’être humain lors de la prise de décisions ou dans la résolution de problèmes. Quant au Machine Learning, il est centré sur la création d’applications qui arrivent à apprendre en se basant sur des données. Enfin, le Deep Learning offre la possibilité aux ordinateurs de résoudre des problèmes très complexes.

Source + intégralité de l’article : https://www.datasulting.com/articles/algorithme-intelligence-artificielle-machine-learning-deep-learning-quelle-difference/

French Tech Atlantic Valley : une grande et belle victoire collective

Nous sommes dans la course ! Nous accueillons avec beaucoup de bonheur et de fierté la nouvelle de la labellisation de notre communauté #FrenchTech #AtlanticValley par La French Tech ! Une belle reconnaissance du dynamisme de nos écosystèmes entrepreneuriaux et numériques à Angoulême, LaRochelle, Niort et Poitiers !

C’est quoi La French Tech, déjà ?

La French Tech est une initiative entrepreneuriale de portée mondiale, qui contribue à faire de la France un pays où les start-ups peuvent naître, croître et devenir des entreprises florissantes capables d’avoir un impact positif sur notre pays. Depuis maintenant cinq ans, la Mission French Tech soutient la dynamique entrepreneuriale et aide les entrepreneurs à faire de la France un écosystème puissant qui rayonne à l’international. Après une première étape réussie, qui a permis de positionner la France sur la carte mondiale de la Tech, une relance de cette dynamique était nécessaire, pour rassembler encore davantage et renforcer notre action dans les territoires aux services des futurs champions. Pour cela, la French Tech a lancé un appel en décembre 2018 pour rassembler les entrepreneurs au sein de Communautés et de Capitales French Tech. Cet appel a rencontré un immense succès, en France et à l’international, et a permis de rassembler-plus de 2 000 dirigeants de start-ups, dans tous les territoires de France et à l’étranger. Ensemble, ces nouveaux modèles d’écosystèmes centrés vers les entrepreneurs vont permettre de déployer une feuille de route très ambitieuse, afin de faire de la France le lieu peuvent naître, croître et devenir des entreprises florissantes capables d’avoir un impact positif sur notre pays et le monde.

A l’issue de cet appel, sont aujourd’hui labellisées pour une période de trois ans renouvelable :

  • 13 Capitales French Tech
  • 38 Communautés French Tech en France (dont 2 dans les DOM-TOM)
  • 48 Communautés French Tech à l’international.

Les Communautés French Tech, des écosystèmes en France et à l’international, sont des nœuds rassemblant les fondateurs de start-ups, investisseurs, employés et autres parties prenantes de l’écosystème des start-ups. Ces communautés partagent la vision de l’action publique French Tech, la déploient au niveau local et veulent jouer un rôle prépondérant dans la réalisation de ses objectifs à l’échelle mondiale, en favorisant les échanges et les rencontres.

Avoir porté notre candidature en tant que co-président du @Réseau SPN avec le soutien d’un nombre considérable de partenaires, agglos, boîtes, startup ou mutuelle d’assurance est une grande et belle victoire collective. Snif.

Crédit photo : Europe1

Mon itw dans le magazine de l’Agglo + trois préconisations concrètes et pratiques pour favoriser le digital niortais

À l’issue de 10 mois de travail, le CDCAN a produit un rapport à l’attention des élus de la CAN sur les enjeux du numérique pour les entreprises du Niortais. Objectif : faire émerger des préconisations pour mieux accompagner les entreprises dans leur nécessaire transition numérique. Une enquête a été menée dans une vingtaine de structures. Jean-Christophe Gilbert, vice-président du CDCAN, en charge de ce dossier, nous présente les conclusions du groupe de travail.

Territoire de vie : Que ressort-il de l’enquête que vous avez menée auprès des acteurs économiques niortais ?

Jean-Christophe Gilbert : L’analyse des entretiens permet de distinguer quatre types d’utilisation du digital : le numérique peut être au service de l’administration de l’entreprise, de sa communication, de son cœur de métier ou de sa stratégie de développement.

TDV : Toutes les entreprises ont-elles recours à ces quatre types d’utilisation ?

Jean-Christophe Gilbert : Non. Si l’usage administratif concerne l’ensemble des structures auditionnées, la place consacrée au numérique dans la stratégie de développement est très différente suivant les entreprises. Certaines prévoient chaque année un budget dédié à leur transformation numérique, mais d’autres continuent d’appréhender ces nouveaux usages au fil de l’eau, sans planifier les évolutions à venir.

TDV : Au terme de votre réflexion, quelles sont donc les recommandations du Conseil de Développement ?

Jean-Christophe Gilbert : Le CDCAN présente 3 préconisations.

  1. La première est fondamentale pour l’avenir économique du territoire : accélérer le déploiement du Très Haut Débit sur toute l’agglomération.
  2. Créer un lieu dédié au digital permettant l’accueil de start-up, intégrant un « guichet unique » du numérique (espace de ressources et d’accompagnement des entreprises dans leur transformation numérique) et capitalisant sur le réseau de compétences existant.
  3. Développer la formation supérieure aux métiers du numérique sur la CAN avec notamment la mise en place d’un pôle de formation adapté aux besoins des entreprises.

Tout le détail de l’étude est en ligne ici

La Grande Ecole du numérique à Niort, c’est qui, c’est où, c’est quoi, c’est combien et c’est comment ?

Salut,

J’écris suffisamment d’articles on va dire “théoriques” ici que je me permets de rentrer pour une fois dans du concret de chez concret. De par mes fonctions de Vice-Président du réseau SPN, nous avons pu construire avec plein de personnes de bonne volonté La Grande Ecole du Numérique ici, chez nous, à Niort. Concrètement, sur notre “campus” de Niort (Centre du Guesclin, Place Chanzy, Bâtiment A – Salle 214) et sur celui de Poitiers (Cobalt, 5 rue Victor Hugo, Étage des combles) il existe aujourd’hui deux classes de 20 élèves. Pas si mal.

Avec nos partenaires, nous rendons possible cette formation expérimentale (6 mois d’ateliers, 3 mois de stage, 10 projets tutorés) afin de favoriser l’insertion professionnelle des demandeurs d’emploi (niveau de Bac-2 à Bac+2) et répondre localement aux besoins de recrutement de nos entreprises.

Je suis aujourd’hui très heureux de pouvoir bosser avec vous dans le cadre de notre appel d’experts. En effet, nos amis Arnaud et Harouna, en charge de “l’opérationnel terrain” ont besoin aujourd’hui de :

  • témoignages professionnels et simulations d’entretiens de stage chaque lundi du 13 février au 5 juin 2017 (en bénévole) ;
  •  ateliers généralistes culture numérique de 3H30 entre le 20 février et le 10 mars 2017 avec une vingtaine d’apprenants (en prestation) ;
  •  ateliers de spécialité infogérance, développement et médias sociaux de 3H30 du 13 mars au 9 juin 2017 avec une dizaine d’apprenants (en prestation).

Ils sont toujours à votre entière disposition par courriel et/ou par téléphone afin de confirmer votre candidature ou pour toutes informations supplémentaires. Leurs coordonnées respectives sont en-dessous.

Sinon, n’hésitez pas non plus à utiliser la fonction “commentaires” pour en savoir plus ou partager cette information au plus grand nombre.

Merci.

++

Harouna Diarra – Chef de projet « Fabrique du numérique » #Niort

  • Tél. : 05 49 93 87 79 / 05 49 78 05 50 – hdiarra@fabdunumerique.fr

Arnaud Lissajoux – Chef de projet « Fabrique du numérique » #Poitiers

Tél : 06 81 35 35 19 – alissajoux@fabdunumerique.fr

Crédit photo : Romuald Goudeau

Ma conférence sur le numérique

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Comme chaque année depuis 1934 environ, j’ai le plaisir d’animer une conférence sur le numérique. Cette fois je suis particulièrement content car c’est pour le compte du super projet de l’Université Populaire du Niortais, 

L’Université Populaire du Niortais présente :

“Le numérique fait-il de nous des mutants ?”

Conférence débat

Entrée gratuite ouvert à tous, participation aux frais libre.

  • Intervention de Jean-Christophe GILBERT,
  • Vice-président de l’Association des Professionnels du Numérique 
  • Vendredi 7 octobre 2016 à 20h30
  • Salle Jean Vilar à Aiffres (à côté de la Mairie)

Dans les romans de science-fiction des années 70, les héros se glissaient régulièrement dans les failles de l’espace-temps ! Aurions-nous rejoint ces voyageurs ? Solution magique ou facteur de marginalisation, la révolution numérique n’est pas reçue par tous de la même manière. Les retombées sur notre vie quotidienne, positives et négatives, enflamment les échanges intergénérationnels. Qu’on l’accepte ou pas, force est de le constater : l’espace et le temps de chacun ne se mesurent déjà plus de la même manière. Le changement est beaucoup plus profond que nous le croyons et même notre personnalité en est affectée.

Lors de cette soirée, l’intervenant s’intéressera d’abord à l’histoire de la transition numérique et à la façon dont est bouleversée notre relation au temps. Il analysera ensuite notre nouveau rapport à l’espace avant que nous partagions nos points de vue sur les implications de ces évolutions sur nos relations sociales.

Résa/infos : upniortais@gmail.com
http://upduniortais.blogspot.fr
Page Facebook

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Le réseau thématique Edutainment

Faisons de notre territoire un pôle de référence international de l’Edutainment

Le SPN a répondu à l’appel à projets “French Tech Réseaux Thématiques” pour défendre la candidature d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers sur la thématique de l”edutainment”. Sur le territoire des 4 agglos, nous avons des entreprises qui sont à la pointe technologique sur cette question et nous disposons d’un environnement favorable pour les accompagner et financer leurs projets . Nous devons capitaliser sur ces atouts pour faire de notre écosysteme la porte d’entrée de la Région ALPC pour les projets d’edutainment !

L’Edutainment, ou la révolution de l’apprentissage

L’edutainment* désigne la production de contenus enrichis et attractifs, issus de différents domaines comme la littérature, le jeu vidéo, etc., qui révolutionnent l’apprentissage. Cette thématique entraîne une transformation numérique du secteur de l’éducation, mais trouve aussi des applications sur d’autres marchés : le tourisme, la culture, la formation continue, l’industrie du futur…

Dans les agglomérations d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers, l’écosystème contribuant au développement d’une spécialité edutainment est composé:

• D’entreprises de pointe dans les domaines de l’Image et du Transmédia, notamment regroupées au sein du pôle Image à Angoulême et de la filière Imagétic à La Rochelle

• De donneurs d’ordre de l’éducation (Canopé, CNED, ESEN), du tourisme / culture (Futuroscope, Cité de la Bande Dessinée, Marais poitevin, Aquarium La Rochele, Zoo Palmyre) et des FinTech (MAAF, MAIF, MACIF, Mutuelle de Poitiers Assurances, Covea, IMA)

• De structures de recherche : living lab “future classroom”, centre de transfert de techno Valconum, laboratoires de recherche L3I et Techné qui sont réunis au sein du Groupement d’Intérêt Scientifique INEFA

• De dispositifs d’accélération (StartInnov, Ateliers Canopé) et d’incubation (CNED, ENJMIN)

• De solutions de financement comme MAIF Avenir, Covea Next, Sferen Innovation, les aides à la production audiovisuelle et le futur fond “Startup Région”

• De l’organisation d’événements d’envergure nationale ou internationale (Videogame Economic Forum, Sunny Side of the Doc, Campus Européen d’Eté en technologies éducatives, Gamers Assembly)

Quels objectifs pour le développement de ce secteur ?

Aujourd’hui, une cinquantaine de Startups en lien avec la thématique ont été identifiées sur notre territoire, notamment des producteurs de contenus ludo-pédagogique (Neotis, Nyx Studio, Equilibre Games, KookiApps, Cogitème), des éditeurs d’outils et de plateformes “de gestion des contenus” (Coureo, Easy Driver, F-451, Neolibris) et des développeurs de dispositifs d’interaction (Morin Innovation, Blue Yeti, Serious Frame, Dreamtronic, ITECA, Aldébarande). Notre projet est de poursuivre la dynamique engagée en travaillant sur les synergies et la fédération de ces acteurs en développant un plan d’action ambitieux et novateur pour faire des agglomérations d’Angoulême, La Rochelle, Niort et Poitiers un pôle de référence international de l’Edutainment.

La labellisation : un coup de projecteur pour notre territoire

Nous voulons aujourd’hui attirer des Startups nationales et internationales des domaines de la réalité virtuelle/augmentée, du learning analytics et de la gamification, en faisant valoir notre écosystème pour tester, valider et financer leur “idée” autour de l’edutainment. L’obtention du label serait un vrai coup de projecteur sur cette filière dynamique. Cela la rendrait visible auprès des investisseurs et industriels.

Pour en savoir plus,

téléchargez notre résumé du dossier de candidature

et

rejoignez le Réseau SPN

.

* source: CapDigital

5 points pour générer du tourisme dans son établissement ou sa destination

Les débats et les conseils sur les stratégies et les outils numériques dans le tourisme, c’est pas pour faire mon emmerdeur mais j’ai envie de dire : comment s’y retrouver dans ce bordel ambiant ?

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Une bonne nouvelle : rien ne change fondamentalement

Malgré la profusion de smartphones, tablettes, booking.com et compagnie, la fameuse “expérience client” ne change pas fondamentalement pour autant. A ceci près que la recherche de destination passe aujourd’hui par les outils numériques, vecteurs de séduction, de comparaison, de conseil, d’information pratique, de vente, et même de fidélisation. Pour s’y retrouver un tout petit peu, je préconise le respect de 5 règles simples !

1 – Précision du détail, qualité de la prestation
Espace de créativité et de transparence, si le numérique permet de nous exprimer, le touriste s’en sert aussi pour comparer. La différence avec nos concurrents se fait sur la précision du détail, la qualité de la prestation. Je vais répéter (exprès) sur la précision du détail, la qualité de la prestation. 

2 – Connaître et analyser ses audiences 
Chaque jour, notre site web et notre Facebook recueillent des données très importantes comme : d’où viennent les internautes ? De quelle ville ? Quel âge ont-ils ? Combien de temps et quelles pages vont-ils visiter ? Connaître ses  chiffres et s’en servir comme base de travail est très important. Sans eux, on ne peut pas travailler.

3 – Numérique d’accord mais la qualité avant tout
Le numérique nous contraint à produire une expérience touristique de qualité. Voilà. La stratégie numérique, aussi pertinente soit-elle, vient dans un deuxième temps enrichir ou corriger cette relation.  Si elle est pertinente et bien menée, elle conforte l’image qualitative de notre prestation. Les contenus intelligents, sur-mesure et dynamiques, permettent de renforcer l’affinité et la relation de confiance. Ils transforment nos points de contact en opportunités mais surtout d’enrichir notre connaissance du client pour lui offrir le meilleur des services. .

4 – Rendre visible nos contenus
Aujourd’hui, la visibilité passe principalement par :

  • les sous
  • le contenu
  • la stratégie
  • l’engagement sur les plateformes sociales
  • la publicité

Mais soyons clairs : les contraintes sont de plus en plus fortes.

5 – Dernier levier, et pas le moindre, développer constamment nos compétences et celles de nos équipes : le seul moyen d’exister demain dans ce nouveau paysage touristique.

En conclusion, et c’est une bonne nouvelle, cette ère du numérique nous pousse avant tout à faire du tourisme de qualité. L’innovation dans les usages et les modèles économiques n’a de sens que si elle crée de la valeur autour de l’expérience touristique. Restons centré client et concentrons-nous sur l’essentiel dans la mise en scène des prestations et des destinations. Si vous ne le faites pas, d’autres risquent de le faire pour vous… si ce n’est déjà fait.

Post Scriptoum

J’ai le plaisir de m’occuper depuis plusieurs années de deux acteurs on va dire “majeurs” du tourisme dans notre beau pays niortais à savoir le site LeMaraisPoitevin.fr et la salle de spectacle de L’Acclameur et notamment son Club Affaires. J’ai également été chef de projet pour l’Aquarium de La Rochelle (au siècle dernier). De toutes ces années à scruter et – tenter de – comprendre le comportement des clients, j’en ai tiré une somme de connaissances bien spécifiques sur ce secteur du Tourisme. Ni plus, ni moins.

Source : http://www.etourisme.info/5-leviers-de-la-performance-etourisme-a-vem7/#.VpyzqAUHDOw.facebook

La filière numérique niortaise se fait connaître

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“Le territoire niortais devra se distinguer pour maintenir et développer son économie numérique. Nous avons intérêt à nous rapprocher des acteurs de la filière sur les différents territoires” souligne Jean-Christophe Gilbert, directeur de l’agence Weeeb et administrateur du SPN (réSeau des Professionnels du Numérique en Poitou-Charentes), lui aussi présent à La Rochelle.

Article paru dans le magazine “Territoire de vie” – Novembre 2015 – Crédit photo et remerciement spécial à Nicole Guichard

Qu’est-ce que le label « Métropole French Tech » ?

Le magazine “Territoires de Vie” m’a posé la question dans son dernier numéro (été 2015).

Explication de Jean-Christophe Gilbert, Vice-Président du CDCAN qui a conduit la réflexion aboutissant à ce soutien : 

Fin 2013, le Gouvernement a créé un nouveau label, la « French Tech », pour donner aux métropoles françaises un «rayonnement international» en matière de numérique. Objectif : faire de la France un vaste accélérateur de startups c’est-à-dire un réseau de quelques écosystèmes attractifs, les « Métropoles French Tech » concentrant tous les ingrédients (culture entrepreneuriale, talents, maîtrise technologique, financement, etc.) répondant aux besoins des « start-up » françaises, des investisseurs et des talents étrangers.

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