Une interview pour comprendre la stratégie (trop ?) originale de MinuteBuzz, qui vient d’abandonner son site web #ouch

                                          
 –
Vous abandonnez votre site MinuteBuzz pour vous concentrer exclusivement
sur les réseaux sociaux. Comment on continue à exister en disparaissant
?

– On ne disparaît pas, on évolue ! On passe d’une puissance on-site à une
puissance sociale. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : +158% de vidéos
vues depuis janvier, avec un objectif de 2 milliards de vidéos vues
cette année. Aux US, NowThis et AJ+ ont montré la voie : ils
se sont créés comme médias 100 % sociaux avec succès. Nous sommes les
premiers en Europe à faire cette démarche, et surtout nous sommes parmi
les seuls à pouvoir le faire grâce à notre business model historique
basé à 100% sur le brand content (marketing de contenu) mobile, vidéo et social.

– Pourquoi quittez-vous Médiamétrie ?
– Parce que les indicateurs évoluent et donc les outils de mesure aussi  
Nous avions besoin d’investir dans des outils nous permettant la
récupération de données plus adaptées à notre modèle.


 – Etes-vous un média ou une société de brand content ?

– On est un média, le leader social sur les Millenials, suivi par plus de 8
millions de personnes au quotidien.
Nous savons nous adresser à cette audience, ce qui passe par du bon
contenu natif. Nos partenaires viennent donc chercher notre puissance
sociale et notre capacité à engager les 18-35 ans, grâce à notre
capacité de production vidéo et notre planning stratégique. 

Interview de

Laure Lefèvre, Présidente et Maxime Barbier, Directeur Général de MinuteBuzz reçue par mail ce matin en provenance de Petit Web pour MinuteBuzz <newsletter@petitweb.fr

MinuteBuzz, en chiffres et en lettres

  • 6 ans, 40 collaborateurs
  • 3 marques (Minute Buzz, Hero et OmNomNom) 100% social et 100% vidéo présentes sur 5 plateformes sociales, 
  • 1,5 milliard de vidéos vues
  • Une communauté de 8 millions de personnes sur l’ensemble des plateformes 
  • Des solutions de brand content 100% social, 100% vidéo. 

Snapchat double Twitter avec 150 millions d’utilisateurs par jour + le reach des médias est en baisse de 42% sur Facebook

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Hellooo

Si il y a un machin bien utile pour se tenir au parfum de l’actu des médias sociaux, c’est bien le blog de Wearesocial. Comme son nom ne l’indique pas, ce site est français et grave au taquet des évolutions de notre monde merveilleux des médias sociaux. Tant et si bien que je te copie-colle direct ci-dessous leur dernière niouze (also recommanded by the excellent Fabrice Brianson).

Snapchat double Twitter avec 150 millions d’utilisateurs par jour !

Snapchat continue sa croissance auprès des plus jeunes et disposerait de 150 millions d’utilisateurs actifs par jour dans le monde. A titre de comparaison, Twitter aurait près de 140 millions d’utilisateurs actifs. Un succès dû notamment à de nouvelles fonctionnalités comme le “Chat 2.0” offrant entre autre la possibilité de coller des stickers sur les messages ou les vidéos.

Le reach des médias est en baisse de 42% sur Facebook

Selon une analyse de SocialFlow, les éditeurs / médias sur Facebook ont connu un déclin rapide de leur reach au cours des derniers mois. SocialFlow a analysé 3000 pages Facebook, dont la plupart ont un nombre annuel d’impressions proche de 500 milliards pour atteindre à terme 600 millions d’utilisateurs uniques. Les résultats de l’étude sont quelque peu négatifs pour les producteurs de contenus :  de Janvier à Mai ces résultats sont en baisse de 42% par post. Il est difficile de dire exactement ce qui a causé ce changement depuis le début de l’année, mais quelques possibilités sont à envisager : l’algorithme de Facebook pourrait s’ajuster pour donner plus d’importance aux posts des utilisateurs, une mise à jour destinée à prévenir la baisse constatée de l’audience.

Instagram lance ses outils dédiés aux professionnels

Seront disponibles des profils d’entreprise (siège social géo-localisable, compagnie joignable par téléphone ou par e-mail), l’analyse de données et des formats média innovants. Avec “Insight”, les entreprises pourront voir si leurs publications sont performantes et auront accès aux données démographiques de leurs audiences. L’un de ces outils publicitaires offrira aux entreprises sur Instagram l’accès aux données Facebook de leurs abonnés pour télécharger une liste d’adresses e-mail ayant pour but d’établir des ciblages média qualifiés.

L’algorithme d’Instagram est en ligne

À la manière de Facebook, le fil d’actualité d’Instagram répond maintenant à un algorithme. Les posts apparaissent à présent selon un ordre défini par le réseau : plus un contenu est susceptible d’intéresser une personne, plus l’algorithme va le mettre en avant. La relation entre les deux comptes est également étudiée par le réseau appartenant à Facebook. Ce changement se justifie, d’après Instagram, par le fait que sans l’algorithme, 70% des contenus ne sont actuellement pas visionnés par les utilisateurs par manque d’intérêt. Jusqu’à présent en phase de test, les résultats de cet algorithme démontrent qu’il y a plus d’interactions (likes, commentaires, partages, …) qu’auparavant.

Snapchat annonce la refonte de Discover

Snapchat devrait dévoiler à la mi-juin la nouvelle version de Discover. Selon une source proche de Snapchat “l’objectif est de se concentrer sur le contenu plutôt que sur la marque afin que Discover puisse aller de l’avant”. Cette refonte permettra, entre autre, de fusionner Discover et Live Stories dans le but de séduire davantage d’utilisateurs et de s’aligner sur la programmation en direct de Facebook. Le réseau social espère ainsi augmenter son nombre de spectateurs par vidéo en séduisant les utilisateurs déjà connectés aux comptes de marques, mais surtout les nouveaux venus sur le réseau.

Twitter teste le format Carrousel

Le format Carrousel permet de tweeter plusieurs contenus, dans un seul et unique post. Dans une publication annonçant ce lancement, Andrew Bragdon, Chef de Produit chez Twitter, explique que le format Carrousel est un outil pour les marques, qui mêle visuel attrayant, prix, et autres informations, en un seul tweet. Cet outil est actuellement testé par Disney, à l’occasion de la sortie de son film “Le Bon Gros Géant”. Pour ses tweets Carrousel, Disney a utilisé un mix de ses propres tweets et ceux d’influenceurs, pour parler « Gobblefunk », un langage imaginaire parlé par les géants du film. D’autres marques comme Gatorade et Volvo l’on également testé.

Facebook enrichit Messenger de 1.500 nouveaux emojis !

Facebook annonce la mise en place 1.500 nouveaux emojis sur Messenger. Le réseau souhaite ici diversifier les emojis proposés, notamment en ajoutant plus de visages roux ou de femmes docteurs par exemple. Facebook définit ce changement comme une volonté de créer une offre « plus équilibrée et représentative du monde ». Cette mise à jour intervient en parallèle de l’annonce d’Unicode Consortium, qui va proposer 77 nouveaux emojis universels au grand public d’ici mi-2017. De nombreuses opportunités pour les marques de prendre la parole de manière plus contextualisée dans les mois à venir !

Source : http://wearesocial.com/fr/blog/2016/06/la-revue-du-lundi-311

Mieux vaut un petit chez soi qu’un grand chez les autres.

Hello, 

Quitte à one more time

enfoncer

une belle porte ouverte, le concept de demander l’attention des gens sur les medias sociaux est un vestige des anciens moyens de diffusion. Les posts se terminant par “partagez svp” ne fonctionnent pratiquement jamais.

« Personne ne peut forcer quelqu’un d’autre à être attentif à quoi que ce soit, désormais »

Le bon truc, avec les médias sociaux, c’est un peu comme vous rendre à une fête, on va dire. Quelqu’un arrive à cette fête et tout ce qu’il fait, c’est de parler, parler, parler. Votre intérêt envers cette personne ne sera pas de très longue durée. Nous sommes naturellement plus attirés vers des personnes qui s’intéressent à nous. Il est important, idéalement, et tout particulièrement pour les gens qui ne sont pas déjà à l’avant-scène, d’approcher les réseaux sociaux comme un outil pour écouter, apprendre et trouver des gens avec qui vous pourrez avoir une véritable connexion plutôt que d’essayer de simplement gonfler vos chiffres.

Les chiffres sont importants, mais ils ne veulent rien dire s’ils ne se traduisent pas par un minimum d’engagement et si vos efforts sur les réseaux sociaux ne se traduisent pas par un soutien durable et constant. Ce que ne sont pas les medias sociaux puisqu’ils changent tout le temps.

Voilà pourquoi je vous recommande toujours d’avoir votre propre nom de domaine et un site Web actif à cette adresse.

En d’autres termes : mieux vaut un petit chez soi qu’un grand chez les autres.

Merci Pulse !

En l’espace de quelques semaines, un nouveau canal media absolument remarquable et venu de nulle part fait irruption : Pulse.

Enfin, quand je dis qu’il vient de nulle part, il vient de Linked In, le truc qui monte quant même pas mal 🙂

Pas plus tard qu’aujourd’hui; via Twitter, un nouvel article absolument remarquable en provenance d’un sympathique et talentueux confrère : Fabrice Brianson (Founder – President Just Amazing – Social Media – Content Marketing)

Vos beaux contenus de marque ne servent à rien sans stratégie de diffusion
Vos contenus de marques sont magnifiques : vos articles sont longs et documentés, votre nouvelle banque d’images colle à l’air du temps, vos infographies reflètent toute la richesse des métiers de la maison et le nouveau blog de la Présidence est en place. Votre Direction de la Communication est ra-vie ! Le problème, c’est que nous sommes en 2015 et vous n’êtes ni Chanel, ni Red Bull. Vos clients ne se battent pas pour dénicher vos contenus et le temps passé sur votre site web est abyssal avec 2 pages vues en moyenne 45 sec. Pourquoi ? Simplement parce que la stratégie de diffusion de vos contenus et aussi importante que vos (magnifiques) contenus eux-mêmes !

Voici quelques antidotes pour accélérer la diffusion de vos contenus

Antidote n°1 : Arrêtez de parler de vous, tout le temps.
Les gens s’intéressent à ce que vous aimez, à vos choix RSE*, à vos secrets de fabrications mais pas forcément à toutes vos gammes de produits. Un peu de retenue ! Ne les innondez pas non plus des photos de vos employés victorieux au Marathon de Paris, mais partagez sur des sujets qui vous intéresseront autant qu’eux.
*RSE : responsabilité Sociale de l’Entreprise.

Antidote n°2 : Coupez dans les textes, presque plus personne ne lit 3000 signes sur un smartphone.
Vous avez hérité d’un site web de 2005 et de ses contenus ? Changez d’époque : un site trop daté n’est plus un actif pour votre entreprise. Repensez tous les contenus pour une génération qui regarde son écran de smartphone quelque 200 fois par jour (même votre mère est concernée, elle qui surfe sur son iPad).

Antidote n°3 : Mettez de l’ordre dans votre éco-système digital
Non, votre site web n’est pas le centre du monde. Vos clients passent plus de temps ailleurs, et d’ailleurs pourquoi viendrait-il sur votre site ? Définissez de quel réseau social vous avez besoin en complément. Le blog du président c’est bien, des articles sur des plateformes puissantes comme Tumbl’r ou Medium c’est mieux. Instagram est un passage obligé, Twitter accepte aujourd’hui les photos, les short vidéos et les sondages. LinkedIn autorise ses membres à publier des articles grâce à Pulse. Mailler les vies quotidiennes de vos utilisateurs, soyez là où ils sont tous les jours.

Antidote n°4 : Chaque contenu a son propre timing
Pensez aux habitudes de vos utilisateurs : regardez à quelle heure, ils sont connectés et où. On ne se réveille plus avec Europe 1 ou RTL mais avec Facebook, on navigue sur LinkedIn évidemment derrière son bureau mais aussi dans le métro et l’usage d’Instagram explose quand on sort du boulot (du moins quand les lycéens sortent à partir de 17h). Testez tous les réseaux. Sur Twitter vous saurez dans l’heure si vos contenus fonctionnent ou non, et soyez patients pour d’autres plateformes comme Pinterest, où les résultats sont plus longs. Analyser les comportements de vos Twittos sur Tweriod.

Antidote n°5 : Tisser votre toile entre canaux
Publiez l’article sur Medium, tweetez le lien, postez la mini vidéo en simultanée sur Facebook et Instagram. Publiez un article dans la page entreprise de LinkedIn, suggérez à vos employés de la liker, épinglez les liens sur Pinterest. Cela peut paraître évident mais tous vos réseaux doivent être connectés et serrés pour vous assurer que vos consommateurs ne passeront plus au travers de vos messages.

Antidote n°6 : Adaptez chaque contenu à son contenant.
Vient enfin le moment grave de choisir un #hastag. N’écoutez pas votre agence et n’en créez jamais de nouveau, (sauf si vous vous appelez Starbucks). Utiliser ceux qui sont ORGANIQUEMENT utilisés sur Twitter, souvent différents de ceux d’Instagram.

Ne postez jamais sans visuel : cela ne coûte pas plus cher et cela multiplie l’impact de vos messages partout. Pensez aussi à retailler vos photos, panoramiques sur Twitter, infinie sur Pinterest, de plusieurs tailles chez Instagram. Pensez également au ton qui n’est pas le même en fonction des médias (limitez les fantaisies sur LinkedIn, lâchez-vous sur Snapchat)…

Ces six antidotes sont autant de règles simples qu’applique Just Amazing pour accompagner les marques et les pousser à transformer leur relation avec les consommateurs. Et vous, quand reprenez-vous la main sur votre système social media ?

5 Statistiques Social Media Intéressantes (et Pourquoi Elles vous Concernent) | Emarketinglicious

5 Statistiques Social Media Intéressantes (et Pourquoi Elles vous Concernent) | Emarketinglicious

Google et Twitter s’allient pour accélérer l’affichage des pages web sur mobile

On ne connaît pas encore les contours précis de l’initiative, mais elle a de quoi attiser la curiosité de quiconque passe beaucoup de temps sur son smartphone. Plusieurs grandes entreprises américaines sont en train de collaborer pour mettre en place une nouvelle technologie destinée à rendre le chargement des pages web beaucoup plus rapide sur les téléphones portables équipés d’Internet.

Révélé par le site spécialisé Recode, ce projet qui sera lancé cet automne réunit le moteur de recherche Google, le réseau social Twitter et plusieurs médias dont le New York Times et le Guardian.

Ils veulent ainsi imiter Facebook, qui a lancé il y a quelque temps une fonctionnalité appelée « articles instantanés » : les médias participants à cette technique voient ainsi certains de leurs articles s’afficher quasi instantanément lorsqu’un utilisateur clique dessus depuis Facebook.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/09/14/google-et-twitter-s-allient-pour-accelerer-l-affichage-des-pages-web-sur-mobile_4756244_4408996.html#WGLADtuxBTme3chE.99

Customer are an investment. Show your customers some looove !

Notre ami Fred Cavazza assiste à la dixième édition de la conférence Marketing 2.0. Comme son nom l’indique, cette conférence est centrée sur les métiers du marketing et leur évolution. Passionnant, comme d’habitude !

Les organisateurs ont insisté sur l’importance d’un point si souvent rappelé ici : mettre les clients au centre des préoccupations. Une bonne chose en cette période où il n’est question que de fans, d’applications mobiles et de données. Le mantra de la journée est : “Show me the money !“. Tout un programme…

Voici un premier résumé des réflexions intéressantes abordées au cours de cette première journée :

  • Old world, new channels. 95% de ce que nous faisons ou consommons provient du monde analogique. Internet est omniprésent dans notre quotidien, l’important n’est donc pas de numériser son offre ou sa proposition de valeur, mais de le faire en apportant de la valeur ajoutée (Ex. Uber ou Simple Bank).
  • Digital is redfining the experience. Nous sommes dans un monde où tout quasiment peut être automatisé et exécuté par des machines ou robots, les marques doivent faire un travail d’introspection pour savoir quelle est leur réelle proposition de valeur, où se situe réellement la valeur ajoutée dans leur offre (“Building new connected value proposition“, ex : Phillips Hue).
  • It’s not about you. Nous sommes entrés dans une ère conversationnelle, la posture autoritaire est de moins en moins acceptée, surtout pour les marques non aspirationnelles (“Don’t be the expert“). Les internautes veulent qu’on leur parle d’eux et de leur quotidien (ce qu’ils partagent sur Facebook ou les plateformes sociales). La difficulté vient du fait que toutes les marques ne peuvent parler à tous les clients en même temps, l’important est de trouver un sujet sur lequel la marque est pertinente et légitime.
  • Recommendations drive revenue. Nous sommes dans une économie de la recommandation où les clients satisfaits sont les meilleurs ambassadeurs de votre marque. La difficulté est de les inciter à verbaliser leur satisfaction et d’orchestrer des conversations entre les ambassadeurs et les sceptiques (cf. ZMOT).
  • Think like a brand, act like a conglomerate. Les médias sociaux donnent aux petites marques et commerçants la possibilité de s’exprimer avec les mêmes outils que les grandes marques internationales. Les utilisateurs de plateformes sociales ne se soucient que de la pertinence du contenu, chacun a sa chance, il est donc essentiel de ne pas se limiter dans sa prise de parole et d’avoir de grandes ambitions éditoriales, aussi bien dans les articles que vous pouvez publier sur LinkedIn ou les photos que vous pouvez partager sur Pinterest. Du moment que vos contenus sont pertinents et inspirationnels, ne vous limitez pas dans l’audience que vous visez, tout le monde a sa chance (“Think big, say it loud“).
  • Enhance your cross-posting strategy. Les systèmes de publication multiple commencent à montrer leur limite (ex : les vidéos Youtube republiées sur Facebook sont souvent ignorées). La bonne approche est d’investir 10 minutes de plus pour publier le même contenu mais selon les particularités : le titre d’un article sur Twitter, l’intro sur Facebook, une citation sur Google+, une illustration sur Pinterest et une autre sur Instagram…
  • Customers expect each interaction to be relevant. Les clients se moquent de votre organisation ou des limitations de votre système d’informations, ils veulent accéder aux mêmes contenus et bénéficier des mêmes services, quel que soit le canal. Ne faites  surtout pas l’erreur de penser qu’il y a des clients mobiles ou des clients “sociaux”, ce sont les mêmes clients, mais dans différents contextes et à différents moments de la journée (“The digital customer determine the channel“).
  • Engagment is not everything. Dans la mesure où 90% des utilisateurs n’interagissent pas sur les médias sociaux, le taux d’engagement ne concerne que 10% de l’audience. On ne peut donc pas en déduire un ROI fiable.
  • Care more about customers than your competitors do. Le niveau de réactivité des marques ayant fortement augmenté ces dernières années, les marques doivent démontrer un réel intérêt dans la satisfaction de leurs clients, elles doivent leur apporter de réelles preuves, pas les envoyer sur un formulaire d’évaluation (“Customer are an investment. Show your customers some love“).
  • Difficult is Good. Si c’est difficile pour vous, ça le sera aussi pour vos concurrents. Les changements et opérations que vous avez du mal à mettre en oeuvre sont autant de barrières à l’entrée pour vos concurrents (“You have to work hard to grab their attention, take risks!“).

– See more at : http://www.fredcavazza.net/2014/05/12/compte-rendu-conference-marketing-20-jour-1

Le chiffre qui fait mal : 44% des inscrits sur Twitter n’ont jamais Twitté

Le papier vient de sortir sur Le Blog du modérateur et il fait mal :

On le savait déjà, mais chaque annonce résonne tout de même comme un demi aveu d’échec. Sur Twitter comme ailleurs, la course au nombre d’inscrits (et donc à la valorisation) ne doit pas occulter un chiffre beaucoup plus parlant, à savoir le nombre de personnes qui utilisent réellement un service. La rapidité d’inscription à un réseau social ou de téléchargement d’une application, couplée à la gratuité et à la curiosité de voir de plus près ce dont tout le monde parle, créé un gouffre de plus en plus grand entre utilisateurs actifs et inscrits. Sur Twitter donc, mais aussi sur la plupart des autres réseaux sociaux…

Ça, c’est une façon pudique de causer de nos amis Facebook et Google+ (voire Pinterest et compagnie) qui nous assènent des chiffres astronomicos-fracassants mais qui, au final, se révèlent biens moins actifs qu’il paraît. #ehouais

On parlait il y a peu de 56% d’inscrits sur Twitter qui n’ont jamais publié le moindre message. La dernière étude en date, publiée ce week-end par Twopcharts, avance un taux de 44% parmi les 974 millions d’inscrits. Certes, on peut utiliser le site de micro-blogging uniquement de manière passive sans prendre le rôle d’émetteur. Mais tout de même, cela semble indiquer une forte proportion de comptes inactifs. Parmi les autres chiffres de l’étude, rapportés par le Wall Street Journal, 30% des utilisateurs auraient envoyé moins de 10 tweets et seulement 13% auraient publié plus de 100 fois. Enfin, 23% des comptes auraient envoyé au moins un tweet lors des 30 derniers jours. Cela représente tout de même 224 millions de personnes.