L’UX Design pour les nul(le)s

Dans son magnifique texte de rentrée, notre ami Pascal Demurger (DG du goupe MAIF) conclue ainsi : Il faut donc se réinventer et engager une transformation profonde de l’organisation en activant un triptyque simple qui traverse aujourd’hui toutes les strates de l’entreprise :

  • UX – Définir et mettre en oeuvre une expérience utilisateur exceptionnelle en partant systématiquement des besoins de nos utilisateurs, collaborateurs et sociétaires, le design devenant une discipline à part entière dans notre référentiel métiers
  • Data – Maintenir l’accès aux données et se mettre en capacité de les exploiter à partir d’une politique de la data qui garantisse à la fois les sources d’approvisionnement nécessaires à l’entreprise et l’utilisation éthique qu’en font nos experts et analystes
  • Culture – Engager un projet de transformation par la formation enfin pour installer au coeur de l’entreprise une nouvelle culture de l’innovation, de la collaboration, de l’agilité et de l’intraprenariat mais aussi et surtout de nouvelles compétences et savoirs.

La data et la culture, c’est assez fastoche à saisir, comme notions. En revanche, l’UX, de prime abord, c’est un peu plus coton. De prime abord seulement parce qu’au final, l’UX Design = User Experience Design = Design de l’expérience utilisateur. Plus concrètement encore, ça donne ça 

image

Un gars, un vélo, le gars monte dessus. Vendu. Bon, ensuite, il faut bien savoir distinguer ce qui compose le produit et de quoi est
faite l’expérience. Si l’on prend un bol de céréales par exemple on obtient ceci

image

Et ça c’est super important car si on déconne dans l’interprétation on risque plutôt d’obtenir cela

image

Voilà pour aujourd’hui. J’en reparle bientôt. Biz.

PS / Je remercie l’excellent David Grand pour son superbe post (qui m’a donné envie d’écrire celui-ci un samedi matin !) #exploit

Auteur/autrice : Jean-Christophe Gilbert

Super sympa