Le digital en 2015 : on anticipe, on laisse venir ou on laisse tomber ?

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Ce blog a beau être un joyeux bordel (c’est vrai), chaque année à la même époque, j’y présente mes vœux pour la nouvelle année (rétro en pied de ce billet). Ma méthode est simple : je trempe une belle boule de café dans du marc de cristal. Pas compliqué.Pour 2015, une chose est sûre : le digital va continuer à croître et prendre de plus en plus d’importance. Face à ce développement, trois attitudes :

1 – On anticipe
C’est la meilleure des attitudes possibles. On prend les devants et on explore de nouvelles pistes pour développer de nouveaux axes. On part à l’aventure en essayant d’aller chercher avec les dents s’il le faut de nouvelles pistes de croissance et de développement.

  • Point positif : on ne risque pas de s’ennuyer.
  • Point négatif : ça coûte du temps, et donc de l’argent.

2 – On laisse venir
C’est la plus compréhensive des attitudes. On conserve ses fondamentaux, tranquillement. En tant de crise – car elle est partie pour durer – c’est la plus évidente. Faire. Et laisser dire. En attendant des jours meilleurs.

  • Point positif : on ne risque pas de faire de conneries.
  • Point négatif : qui n’avance pas, recule.

3 – On laisse tomber
C’est la plus économique des attitudes (à très court terme). On laisse tout tomber en espérant qu’une fois la crise passée, on pourra de nouveau se contenter de son petit site et de sa page Facebook mise en ligne par le petit cousin en octobre dernier. C’est de très très loin l’approche la plus risquée car ne plus être en mouvement sur le digital équivaut à une mort clinique proche du coma artificiel.

  • Point positif : on fait des économies sur les six premiers mois.
  • Point négatif : on dépose le bilan en 2016.

Rétrospective

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