Le phénomène s’était un peu calmé mais – la crise aidant je pense – il reprend de plus belle : n’importe qui se pense capable de s’occuper d’un site web. Informaticien en pré-retraite, beau-frère, formateur ou je ne sais quoi, zou : “c’est bon, je m’en occupe” ! Invariablement, dans 99,99% des cas, 12 ou 24 mois plus tard, c’est la catastrophe, le site est planté, en vrac et en bordel, déserté au milieu de nulle part. Et il faut donc tout reprendre à zéro. Ce qui me surprend le plus, dans cette histoire, c’est le nombre de mois, d’années, de siècles que les décideurs de tout poils mettent à comprendre que s’occuper d’un site web, d’un Facebook, d’une communauté en ligne :

1 – ne s’improvise pas
2 – exige des compétences
3 – c’est un métier.